Chasse avec le prête

L'hiver est là, il fait extrêmement froid, je n'avait jamais connu un tel froid et un tel environnement. Raggnar m'avait appris comment survivre dans ses contrées durant l'automne et en ce début d'hiver. cela faisait plusieurs mois maintenant que Faë et moi avons trouvé refuge au givre, sous la protection du haut-roi. complètement rétablis grâce aux soigneurs de là-bas; je profitait de la fraîcheur du matin pour sortir de la forteresse, en direction des montagnes. le jour ne se lèverais pas avant 2 bonnes heures mais c'est d'un pas sûr que je m’enfonça dans les bois. Je comptais chasser toute la journée et revenir tranquillement après la tombée du jour rejoindre mon frère dans sa modeste demeure que lui avait attribué le roi.

Je pris le sentier le plus direct vers le sommet de la montagne, à petites foulées pour chasser le froid et s'échauffer avant la vrai grimpe. J'aimais ses forêts, elles étaient bien plus attrayante que celle des chez moi et pour pleins de raison: déjà je ne les connaissaient pas, elles étaient hostile et il était facile d'y perdre la vie et enfin en tant que chasseur qui partait de bon matin, tu ne savais jamais à quel moment tu devenais la proie. le silence me plaisait aussi, tout était beaucoup trop bruyant dans la forteresse et le silence de la forêt était vivifiant, arrivé à un certain endroit du sentier, dans les hautes herbes résistantes à l'hiver je reconnaissa un petit chemin emprunter seulement par les animaux. Je le suivi et fit quelques kilomètres toujours au pas de courses, arrivé dans une petite clairière je vérifia le sens du vent et choisi un arbre ou je savais que les animaux ne sentiront pas mon odeur. Je m'installa sur une branche et attendie, je commencerais à traquer quand le soleil se sera levé. J'encochais une flèche, en préparait une autre dans ma main d'arc et m'installa confortablement en attendant le passage de la proie.

Vous savez, miner dans des mines exploiter c’est bien jolie, vous avez de la lumière les filons sont à portée de main, mais si vous voulez un bon acier de qualité il vous faut trouver des minerais pur et croyez-moi ils sont bien cacher.

Forte heureusement Halvard (mon père) m’avais mis sur la piste de plusieurs gisement dissimuler dans la forêt et les montagnes, à sa mort il m’avait légué ça carte ou il y notait les régions où il était possible d’y trouver de bon gisement. Je pris donc la carte, ma cape, ma pioche, une hache (on n’est jamais trop prudent) et bien évidement ma besace avec des rations pour la journée.

Je sortis de chez moi, il faisait froid. Nous étions en plein milieux de l’hiver et se matin le clan était particulièrement calme, il faut dire aussi que le soleil n’avais pas encore pointé le bout de son nez. Je pris ma besace sortit ma pipe, l’alluma et après avoir respiré une bonne bouffé de tabac je commençai les premier pas en direction des montagnes.

On pouvait distinguer les premières lueurs du soleil à travers les hautes cimes des arbres, le temps était relativement dégager et laissais apparaitre un ciel orange et mauve. Ma carte en main je me dirige sur les sentiers arpentés de la montagne.

-Alors . . . d’ici environs un kilomètre je devrais me diriger vers l’ouest jusqu’à une petite clairière. En supposons que je ne croise pas de smilodon je devrais en avoir pour une petite heure.

C’est donc d’un pas élancé que je continuai mon expédition, que je baptiserai par la suite « Mission: récupération de minerais pénard sans Nain ni Elfe ». Après avoir marché pendant une petite heure comme prévu, je distingue au travers de quelque fougère une petite clairière, je regarde brièvement ma carte et hoche un sourire.

-Mon chère Estren je croie que tu as trouvé ladite clairière.

Je fais quelque pas avant d’arriver à la lisière de la clairière, je vois le gisement de fer, il est dissimuler par un léger brouillard. Je m’avance donc aux travers de la brume tout en dégageant les hautes herbes enneigé. Quand soudain !

-Tshiuuuf !

Une flèche vient se planter dans ma besace, elle y perça ma gourde de si délicieuse cervoise qui ne manqua pas de se déverser tout le long de ma besace. Je dégaine alors ma hache afin de faire payer au maudit archer qui a osé s’attaquer à ma cervoise et sans doute moi par la même occasion.

-Qui est là !

Comme a mon habitude Je me leva très tôt, se matin je devait faire apprendre a certain enfant qui avait visiblement de très bonne prédisposition a la médecine magique, mon savoir. Mais pour cela il me faudra du gibier frais... très frais. Vivant ou mort peut importe la magie peut ressouder la chair, se n'est plus un détail au-qu’elle je fait attention.
Ne voulant pas non plus perdre trop la main parfois j'allait chasser un peut, a force de garder mes fesse au chaud dans l'église je vais finir par me ramollir, je prit une tenu plus adapter que ma bure.
J'ouvrit une malle se trouvant dans un coin de ma chambre a coter du qu'elle j'accrochait mon arc et ma lame, j'en sortie une tenu de cuir de couleur blanche doubler de fourrure tout aussi blanche tacheter de gris a l'intérieur qui ressortait légèrement la ou le cuir ne pouvait pas protéger. Le froid a une fâcheuse tendance a s'introduire la ou il peut. Je mis des bottes bien chaude blanche également et des gant assez fin doubler de fourrure, il fallait pas avoir des moufle pour tirer avec un arc.

Quand je sortie le soleil n'était pas encore lever, je m'engagea direction la montagne ma lame a la anche mon carquois au dos et un arc saka a la main gauche, pour tuer vite et de déplacer correctement.

Une fois dans les bois je faisait un minimum de bruit, même si ont était de nuit ma fourrure blanche me camouflait suffisamment dans la neige danse pour ne pas que l'ont puisse me voir facilement.
Je commença ma chasse par de simple lapin, drôlement petit par rapport a d'habitude, si je trouvait mieux je m'en servirait pour autre chose, puis des lièvres, sa allait déjà un peut mieux mais avec 3 cadavres en tout j'irait pas loin. Le mieux serait un gros gibier.
J'arriva au niveau d'une clairière il y avait une vu parfaitement dégager et j'avait aperçut les trace de quelque sanglier. Mais se qui me fit le plus frissonner sont c'elle d'un smilodon blanc, il sont plus rare mais aussi plus coriace, leur trace sont bien plus grosse que leur cousin commun, si j'en croisait un... je n'aurait pas intérêt de me louper sinon je suis mort. Je me hissa en haut d'une branche, arc armée et scruta les lieu comme un rapace qui attendait une souris.

Puis au loin je vie une forme, assez massif mais avec toute la brume qui c'était lever impossible de définir vraiment de quoi il s'agissait.

Tu est quoi toi? Plus haut que large, mais tu a l'air d'avoir une bonne fourrure...
Aaaaah! Se brouillard ne m'aide pas! Bon temps pis je tente ma chance et ont verra bien.

Je bandit mon arc, et décocha une flèche vair une de ses pattes pour pouvoir l'approcher, si il ne pouvait plus avancer je risquait rien, et si ont ne connaissait pas cette bête l'étudier serait intéressant.

Toucher. me dis-je avec satisfaction.
Quand soudain j'entendit qu'il s'agissait d'un homme, encore mieux c'était notre forgerons! Mais qu'est-ce qu'il fou ici et seul qui plus est ?

Je déscendit de mon perchoir en l'appelant.
Estren! ses vous mon frère ? Désolé avec se brouillard je t'es confondu avec un gibier avec tout le bruit que tu fait. Je t'est pas toucher au moins ? Dis-je en m'approchant de plus en plus jusqu’à qu'il puisse me voir.

Assise en haut de ma branche, j'avais entendu quelques choses approcher, en fermant les yeux et en me concentrant je l'entendit plus distinctement dans la neige...... humanoïde........ des pas........ je huma l'air dans sa direction.......l'odeur du feu.......plutôt des fours, mais pas d'odeur de nourriture.......en me concentrant encore plus sur mon odorat je pus ressentir un arrière goût de métal..........pas les pas lourds du nain et si mon frère se déplace aussi bruyamment seul dans les bois je vais le tuer! Non il ne restait plus que l'humain. Il déboucha à 15 mètres sur ma droite au travers des herbes hautes là ou je suis passée plus tôt.
*Avec tout le barouffe qu'il fait, ma chère Eöwin, tu vas pas chasser grand chose ici* me dit-je en soupirant et en regardant le forgeron d'un air dépité.

je décochais ma flèche et remis celle-ci et celle de ma main d'arc dans mon carquois quand....

Tsiuffff!!!!

Une flèche vains se planter dans la hanche du forgeron rependant du liquide sur le sol, merde du sang?!?!

- Qui est là? hurle le forgeron.

Je ré-encoche rapidement une flèche en direction de la brume et de l'autre archer dissimulé.

Estren? c'est vous mon frère?...... C'est le prêtre, ouf soulagement. Le prêtre descendis de son arbre, je l'entendit plus que je ne le vis dans se brouillard de petit matin et il se rapprocha du forgeron.
Foutu pour foutu, je descendis à mon tour et me rapprocha moi aussi du forgeron, soulager au vu de l'odeur ce n'était pas du sang qui c'était répandu mais de l'alcool, deuxième soulagement on aura pas à le soutenir pour revenir à la forteresse. En me rapprochant je vis la surprise dans le visage des autres.

J’entendis une voie familière, à y réfléchir cela ressemble a la voie de Tregaroth notre prêtre. La silhouette se rapproche et laisse apparaître les traies familier du prêtre.

Estren! ses vous mon frère ? Désolé avec se brouillard je t'es confondu avec un gibier avec tout le bruit que tu fait. Je t'est pas toucher au moins ?

J'aurais bien aimer lui répondre qu'il n'était qu'un miasme, qu'il aurais mieux fais de rester dans son église si c'était pour tirer aussi mal a l'arc. Mais bon plus de peur que de mal (sauf pour ma cervoise), je répond alors d'un ton agacé.

Non vous ne m'avez pas toucher. Mais tout de même me confondre avec du gibier je n'aurais pas cru sa de vous Tregaroth.

Soudain alors que je parle avec Trega je vois une silhouette derrière l'épaule du prêtre.

Tregaroth ! Attention derrière vous.

Je soupira de soulagement quand je vis que je ne l'avait pas baisser, mais se fût de courte durer quand le forgeron cria mon nom en pointant mon dos, dans un réflexe de survie je prit une flèche dans le carquois, tout en me retournant je l'encocha et bandit mon arc, flèche pointer vers ma cible, quand je vit la forme humanoïde, je me relâcha. Se n'était pas une bête sauvage, la silhouette se précisa et l'ont pus reconnaître Dame Eöwin, a cette instant je débanda mon arc et souffla de soulagement. Ne sachant trop quoi dire je me tourna vers Estren avec un regard emplie de question.>

Bien le bonjour Dame Eöwin que faite vous ici d'aussi bon matin?

Je n'avait rien de mieux a dire, je venait de tirer sur notre forgerons et viser une personne sous la protection du haut roi, parfois il en fallait pas plus pour envoyer un homme au cachot, je me fit donc petit et attendit de voir se qui allait se passer.

En me dirigeant vers les deux hommes j’entendis le forgeron dire
-          Tregaroth ! Attention derrière vous.
Et le prêtre se retourner d’un geste fluide en encochant une flèche. D’instinct je me mis de profil et hors de sa ligne de mire.
*ha non pas moi aussi ou je vais te faire sauter les dents*  cette réaction de prêtre m’énerva immédiatement.
Le prêtre, quand il me reconnu rangea son arme.
-          Bien le bonjour Dame Eöwin que faite vous ici d’aussi bon matin ? me demanda le prêtre
-          Bonjour forgeron, bonjour prêtre sa fait bien du monde dans cette clairière alors que le soleil n’est pas encore levé. Dis-je. Puis je regardai intensément le prêtre. Un peu de méditation ou de prière peut être ? Sa éviterais de tirer trop vite. Faut faire appel à ses sens avant de tirer. Lui dit-je sèchement, je savais qu’il m’avait sauvé la vie mais prier et guérir sa n’avait rien avoir avec la chasse !
Je regardais le forgeron qui n’avait pas du tout l’air blessé et regardait la flèche plantée dans l’outre de celui-ci, rependant le liquide qu’elle contenait sur le sol.
Je crois que le forgeron et le prêtre parlais mais je n’écoutais pas, comme un sixième sens je sentis mes poils se hérisser dans mon dos et fermait les yeux. Des créatures n’étaient pas loin.
-          Shuuut ! fis-je en me retournant, leur tournant le dos. Armes aux clairs leur dis-je.
On pouvait les entendre maintenant dans les fourrées. J’encochais mes flèches.

-          On est décidément beaucoup trop de monde dans cette clairière….

J'entendit les bruits des branches qui craquait, mon sang ne fit qu'un tour quand trois smilodons sortir de la lisière. Cette abrutis d'Estren prit sont arme et fonça comme une mule sur les prédateur... faudrait que je lui dise un jour que un seul d'entre eux suffit a tuer trois hommes.

Estren! STOP! Mais il ne m'écoutais pas, il continuait sa course.. au moins si il meurs il nous permettra de fuir et il auras sa place au Valhalla.
Sa me fait mal de pensez a ça, j'avait priez de ne jamais devoir a utiliser ce Psaume, mais une potentiel héritière pourrait mourir, même si je ne doute absolument pas en ses compétence de fuir ou d'abattre ses prédateur a distance.

Bon désoler de vous demander ça dame Ëowin, mais pouvez me couvrir quelque seconde. Je sentais que cette idée n'allais sans doute pas lui plaire, j'avait apprit à la connaitre, elle était solitaire et ne jurais que par elle même. Elle n'aimait pas parler et était assez froide avec les autres, rien ne l'obligeais a m'aider mais je priais la lune qu'elle accepte.
j'arracha la cordelette de mon médaillon, pas le temps pour l'enlever correctement. j'ouvrit mon sac, et prit de la poudre de lune, un mélange de différente pierre, de sel et d'argent. se qui lui donnait un aspect de métal blanc. Puis je prit une papier que je portais toujours sur moi, et que personne jusqu’à Ëowin n'avait encore vu.

Faite gaffe si vous voyer une lumière dans mes main, fuyez. je posa mes main l'une contre l'autre.
Je suis la main armé de la vie.
Quand la mort nous menasse, la lumière nous sauve.
Quand le soleil se lève sont pouvoir m'emplit.
Je t'appel père de toute chose, arme ma main et pourfend mes ennemis!
A cette instant une lance qui dégageait une Energie solaire, je la jeta en direction du ciel. Elle partie si vite que l'ont pourrais croire que le tonnerre partait de ma main, dans la fraction de seconde qui suivit trois lance solaire s’abattirent sur les trois fauves, ils tombèrent à Terre sous l'impact et prirent feu sur le champs.
Quand l’énergie quitta ma main, je m'écrasa au sol sous la douleur. Mon bras droit était entièrement brûler et mon corps était vider de toute énergies.

Ils émergèrent des fourrés, ses trois sublimes et dangereuse créatures. Je ne peu en détacher mon regard devant leur redoutable beauté..... Comment s'en sortir. Je n'ai pas le temps de réfléchir que le forgerons pris son arme et s'élança en hurlant... IMBÉCILE!!! Avec sa pauvre petite hache face à ses trois splendeurs. Le prêtre lui hurla d'arrêter mais l'autre braillait tellement fort qu'il ne l'entendit pas. Moi je ne dit rien. Au moins pendant que l'autre débile se fait bouffer, nous, on aura le temps de partir se mettre à l'abris. C'est bon on va s'en sortir, cette pensée me fait sourire.

Bon désoler de vous demander ça dame Eöwin, mais pouvez me couvrir quelques secondes. Me dit le prêtre en sortant un bout de papier. Pourquoi il veut lire l'autre!!! Il croit quoi? Que c'est avec des putains de prières qu'il va nous sauvés ?!?! NON je ne vais pas te couvrir pour que tu puisses prier CRÉTINS!!!! Je vais partir en courant et vous laissez vous faire bouffer comme les débiles que vous êtes!!!
Le prêtre arracha son collier et ouvrit un petit sac ou il sortit de la poudre wahou..... un collier, un papier et de la poudre avec ça.....

Faite gaffe si vous voyer une lumière dans mes mains, fuyez.
Je suis la main armée de la vie.
Quand la mort nous menasse, la lumière nous sauve.
Quand le soleil se lève son pouvoir m'emplit.
Je t'appel père de toutes choses, arme ma main et pourfend mes ennemis!

Et alors que je commençais à reculer pour partir, le prêtre lança un espèce d'éclair vers le ciel qui me fit sursauter et l'éclair réapparut pour tuer les trois bêtes qui prirent feu en mourant avant que l'autre idiot d'humain ne se face bouffer. devant la scène je resta pétrifiée complètement ...... un collier, un papier et de la pauvre petite poudre? sérieusement? J'entendit le prêtre devant moi geindre de douleur au sol et sa me fit sortir de ma torpeur, je m'approcha de lui et vit son bras brûler qui dégageait une odeur de chaire cramée répugnante. Je m'accroupit prés de lui, posa mon arc et le redressa en position assise.

Impressionnant. Lui dit-je calmement. Et le bras ça va le faire? Vous avez pas un truc magique et pas trop dégueu pour sa, lui demandais-je avec un geste vaguement dégoûté vers son bras. Et vous pourrez recommencer quand? Puis, du ton le plus sarcastique possible je rajouta. Parce que aucun de vous deux, bande de débile du Nord, n'à pris le temps de bien regarder mais les trois fauves, en l'occurrence sont des BÉBÉS! Alors maintenant que les chatons sont morts brûlés d'une manière si...... discrète... On va faire quoi avec la maman ? *sourire sans joie*

Dans ma course je n’entends plus que le bruit du vent qui frôle mon visage et celui des broussailles sous mes pas. Je n’ai plus qu’un seule envie, me faire un long manteau en . . .

-Bébé ?! Ce ne sont que des petits smilodon !?

Ils n’ont pas atteint leur taille adulte et ça se voie avec leurs dents qui sont toute petite, ils doivent avoir dépassé les un mètre de haut, ce qui est énorme pour un jeune smilodon qui font en moyenne quarante à soixante centimètre. Cela ont déjà dépassé la taille adulte, je n’ose donc même pas imaginer à qu’elle point les parents de ces petits doivent être immense.

Au fur et à mesure de ma course je me rapproche de plus en plus de c’est bestioles et je me dis, que si papa et maman découvre que « l’humain » a tué les petits alors je ne suffirais pas à les retenir de leur colère. Sur ses pensées je commence à ralentir le pas et passé d’une posture offensive à défensive.

-Bon il ne faut pas les énerver et encore moins les attaqués. Et bien bravo Estren c’est un peu mal barré avec la charge que tu viens de faire.
 
Quand soudain juste au moment où j’essaye de trouver une solution au problème que je viens de poser, trois lumières tombent du ciel et vienne s’abattre sur les trois petits qui s’empreignirent de prendre feu.

-Mais par toutes les putains d’Orya, ce n’est pas vraie ! Qui est l’abruti qui a aggravé ma connerie ! !!

Je me retourne et je vois le prêtre à terre qui se redresse à l’aide de l’elfe, il a l’aire d’être en sale état. Je cour donc me rapprocher d’eux et j’entends dame Eöwin parler.

-Alors maintenant que les chatons sont morts brûlés d'une manière si...... discrète... On va faire quoi avec la maman ?

-Déjà faudrait ramener le prêtre en lieu sûr car je ne sais pas pour toi mais je me vois mal m’occuper de la maman avec un grand brûlé sous le bras.

Puis je me retourne et je voie que le feu qui brulais les poils des smilodons c’était propager sur les sapins qui prennent  rapidement feu à cause de la sève.

La douleur était insoutenable, le bruit de la lance ma complètement assourdit.
Je vois flou autour de moi du à l’énergie demandé. Je voix Ëowin me parler mais l’acouphène est si intense que je l'entend a peine. Je manqua de évanouir suite a la douleur de mon bras, j'était totalement désorienté.

J'en était sûr le dieu soleil ne doit doit plus trop m'aimer dût à ma relation privilégié avec la Mère.
A cette pensé j'entendit une voix dans ma tête comme si une femme parlait, ou plutôt comme si j'imaginais qu'une femme me parlais. Soudain je percuta, la poudre de lune! Vite!
Je tendit mon bras calciné avec faiblesse et mis ma main au dessus de l’amas de poudre et de ma pierre. Avant même que je trouve la force de me concentré, se qui me paraissait impossible j'eu l’impression que des centaine d'aiguille me transpercèrent le bras, la déesse faisait sont oeuvre. Ma pierre se mis a luire si fortement qu'elle commença a fissurer, et la poudre eu l'air de fumé mais sans prendre feu.

Le processus dura quelque seconde.. quelque seconde dans laquelle je reteint plusieurs cris de douleur insoutenable avant de m’effondrer de fatigue.
La pierre cessa de briller et quand ont pouvait enfin la revoir distinctement ont pouvait parfaitement voir qu'elle s'était briser en deux suite à l’énergie sans doute énorme qui a dût la traversé.

Le vent commença à se lever, le ciel se couvrit lentement de nuage gris, et l’atmosphère se fit lourd. Mais les bourrasques attisait de plus belle les flamme et commencèrent a brûler la lisière de plus belle, si sa continue comme sa l'endroit allait très vite devenir dangereux, car le sapin brûle très très vite.

Déjà faudrait ramener le prêtre en lieu sûr car je ne sais pas pour toi mais je me vois mal m’occuper de la maman avec un grand brûlé sous le bras.

Depuis quand le forgeron me tutoyait. Je lui lança un regard plein de dédain, puis je vis le feu derrière lui se propager dans les arbres, il allait falloir qu'on parte vite et pendant se temps le prêtre repris de la poudre et sa pierre pour se soigner avant de s’effondrer de nouveau. On va comme même devoir traîner quelqu'un au final... fais chier! J'en ai déjà marre de cette journée et le soleil se lève seulement.... on était pas rendu. Je commence à soulever l'inanimé mais il est trop lourd.

Forgeron ? Lui demandais-je avec un regard appuyer sur le poids mort que j'essayais en vain de porter.

Oui pardon, laisse-moi faire. On va le tiré sur la neige, on ira bien plus vite.Me répond le forgeron.

Puis je le voie confectionner à la vas-vite un espèce de harnais et traîner le prêtre dans la neige. J'espère  que le prêtre à les bottes bien accrochés. Je me retourne et vois le feu se propager un peu plus, comme il n'y a pas beaucoup de vent le feu ne devrais beaucoup se propager.

Et bien maintenant il faut retourner à la forteresse pour y déposer le prêtre. Je soupire. Moi qui voulais passer une journée à miner pénard, c’est loupé.  

Et voilà qui se plein! Et à moi vous m'avez tous pourris ma CHASSE!!! Ramassant les affaires qui traînaient dont le fameux bout de papier magique et les suivis tant bien que mal en direction de la citée. Au bout de quelques centaines de mètre j'en avait déjà marre.

On peut pas le réveiller de force sérieux?!? On va pas le traîner comme un tas de bois jusqu'à la forteresse?!? Vas-y arrête on va le réveiller le nain en toge. Demandais-je au forgeron.